Pourquoi et pour quoi choisir le métier de coach professionnel ?
Bien que ma réponse à cette question évolue continuellement, aujourd’hui j’ai décidé d’écrire cet article afin de partager ma vision actuelle. À vrai dire, deux avis valent mieux qu’un ! Donc, disons qu’à ce jour, j’ai deux visions sur le sujet :
D’un point de vue personnel, je suis convaincu que devenir coach aujourd’hui c’est faire le choix d’une profession noble. Pourquoi ? Tout simplement parce que, le métier de coach est avant tout, basé sur de nombreuses valeurs morales. Certes, il exige un professionnalisme mais requiert aussi de l’humilité, une sincérité, une neutralité, une empathie et de la bienveillance.
L’approche humaniste du métier
Nous vivons dans une époque où l’individualisme et le narcissisme ne cessent d’augmenter. L’Homme tel qu’il existe aujourd’hui, est contraint de suivre des modèles de réussite mais il est aussi, contraint à moins réfléchir.
Avec le temps, le concept d’une pensée autoréflexive devient une idée désuète. Les nouvelles technologies, les réseaux sociaux ainsi que les applications mobiles offrent des solutions prédéfinis. L’émergence des solutions « clés en main » invite l’individu à chercher des solutions et des réponses partout sauf au bonne endroit : En lui.
Ainsi, c’est en ce sens que le métier de coach contribue aujourd’hui, dans le développement et l’évolution de tout individu. En lui offrant l’opportunité de franchir tout système conventionnel pour être libre de réfléchir, libre de s’identifier et libre de s’exprimer pleinement.
Et d’un point de vue professionnel, je considère que le métier de coach aujourd’hui est une vocation et un engagement. Autrement dit, cela implique un travail rigoureux sur soi-même, l’actualisation permanente de ses connaissances ainsi qu’un suivi régulier en supervision.
L’amélioration continue dans l’exercice de cette profession
Pour exercer le métier de coach aujourd’hui, des consignes indiscutables sont à prendre en considération. Comme par exemple :
– Le respect des obligations envers la profession.
– Les capacités à remplir ces obligations.
– Le développement d’une pratique vertueuse.
Mais surtout, le refus de toute influence sur la personne prise en charge et le respect de la confidentialité des entretiens. D’ailleurs, ce métier ne peut être pratiqué que si l’on est en accord avec les principes éthiques qui fondent le coaching.
Étant donné que, c’est une profession spécifiquement définie et bien différente des autres cela nécessite donc, un savoir-faire. Par conséquent, le coach doit constamment évoluer afin de pouvoir accompagner plus pertinemment l’évolution de ses clients. Et c’est ainsi, qu’il pourra s’adapter aux nouveaux modes de fonctionnement des personnes, des groupes et des organisations.
Pour moi, un coach est éveilleur de potentiel par le biais d’un accompagnement et surtout par son questionnement. Face à une demande croissante de coachings très opérationnels, efficaces et sur des temps limités, le coach se doit d’être compétent. Un coach doit donc se demander en permanence si son niveau et ses connaissances lui permettent de faire face aux nouvelles exigences.
Et pour conclure, je dirais que le métier de coach doit être exercé de bon gré tout en préservant une authenticité. Toutefois, il ne faut pas oublier que ce métier exige avant tout, de respecter une éthique et un code de déontologie.
Si vous êtes à la recherche de conseils pour votre projet de formation en coaching alors n’hésitez surtout pas à me contacter.
Bonjour et merci pour votre article. En effet, je pense également que les 3 obligations que vous citez sont obligatoire. J’ajouterai également une indirectement lié à au client qui consiste en tant que coach à se former continuellement et ne pas rester sur ses acquis !
Au plaisir
Bonjour,
Merci pour votre commentaire et pour ce petit rappel.